Théâtre

Le Poème de Berlin ou Les Personnages de théâtre meurent dans la rue
Théâtre
Montreuil, janvier 2014

 

Texte Armand Gatti

Mise en scène Jean-Marc Luneau

Avec : Pauline Rumen, Marion Franqui et Sébastien Turner

Représentations du 18 au 20 janvier à La Parole errante à La Maison de l’arbre.

 

Fin 1968, Armand Gatti s’installe à Berlin où il a été invité comme écrivain résident. Il doit se lancer à la recherche de Rosa Luxemburg. Il écrira Rosa collective, puis Quatre schizophrénies à la recherche d’un pays dont l’existence est contestée ; il fera un film sur les immigrés espagnols, Le Passage de l’Ebre ; il travaillera avec des étudiants, des ouvriers turcs.
Mais à son arrivée, cette ville au statut irréel, cette Jérusalem politique le subjugue, le submerge. Il y retrouve tout ce qui fut jusqu’ici ses préoccupations. La guerre bien sûr, la résistance, la contestation, la condition ouvrière, l’immigration, le foisonnement artistique, quelques grandes figures de son panthéon personnel. La ville est un immense point d’interrogation. Il entreprend alors ce long poème Les personnages de théâtre meurent dans la rue qui deviendra Le poème de Berlin.
Le texte pose d’abord la question de la présence même de Gatti dans la ville. Quels « Je » sont en jeu ? Puis, puisque c’est à son statut de dramaturge qu’il doit d’être là, comment un artiste peut-il intervenir, par sa création, dans une ville dont la réalité dépasse l’imaginaire ? Et comme toujours chez Armand Gatti, l’écriture se questionne elle-même. Au « que dire ? » s’ajoute le « comment dire ? » Quelle langue, qui ne soit pas déjà une idéologie, pour dire Berlin ?

© Affiche : Auteur : Raymond Moretti – © : La Parole errante.

Ces Empereurs aux ombrelles trouées
Théâtre
Montreuil, janvier 2014

Ces Empereurs aux ombrelles trouées, pièce mise en scène par l’auteur et Matthieu Aubert. La pièce a été jouée les 23, 24 et 25 janvier 2014 dans les locaux de la Maison de l’arbre à La Parole errante à Montreuil-sous-bois, lieu de résidence d’écriture de l’auteur, à l’occasion de ses 90 ans.  Créée en 1991 au Musée Lapidaire dans le cadre du 45ème Festival d’Avignon, Ces empereurs aux ombrelles trouées s’écrit en huit « sourates » où parole et image s’affrontent pour restituer sur une scène de théâtre l’aventure collective de la sortie d’Égypte à la recherche du nom de Dieu. Un Dieu que se disputent depuis des millénaires les dignitaires religieux – ceux que Mao appelait ironiquement les « empereurs aux ombrelles trouées ». La pièce visite ainsi quelques moments clés de cette histoire conflictuelle des représentations et des appropriations du divin au sein des trois monothéismes, et au-delà. Y sont ainsi convoqués – entre autres – le concile de Nicée, la bataille de Poitiers, le procès du mystique soufi Hallaj, le trajet du théologien de la libération Camilo Torres et la Shoah… Initié en mars 2013 sous la houlette d’Armand Gatti et de Matthieu Aubert, un atelier réunissant un groupe de personnes de tous âges et de tous horizons débouche, presque un an plus tard, sur la recréation à La Parole Errante d’une partie de « Ces empereurs aux ombrelles trouées », pièce-fleuve inédite, jamais encore montée dans sa totalité.

Texte : Armand Gatti ; Mise en scène : Armand Gatti, Matthieu Aubert  ; Scénographie : Stéphane Gatti ;  Avec : Alexey Blajenov, Audrey Layris-Vergès, Camille Ferrand, Déborah Portnoï, Estelle Guérot, Flora Brousse, Hugo Botter, Jemma Saïdi, Leonor Illitch, Lucas Arnoldi, Lucie Guesnier,  Nicolas Sers, Rachid Belkaïd, Rehima Yahaoui, Sylvie Paoli, Tess Tracy ; Réalisation :  Stéphane Gatti : Mixage : Frédéric Ullmann.
Production : France, Montreuil : La Parole errante.

Un montage vidéo des captations a été réalisé par Stéphane Gatti : VOIR LA VIDEO

La Tribu des Carcana en guerre contre quoi ?
Ces Empereurs aux ombrelles trouées
Théâtre
Montreuil, août 2013

Vendredi 30 et samedi 31 août 2013, 20h30
à La Parole errante à La Maison de l’arbre, Montreuil :
Représentations de deux pièces d’Armand Gatti

 

20h30 – 22h > « La Tribu des Carcana en guerre contre quoi ? »

VOIR LA VIDEO DE LA CAPTATION

Pièce d’Armand Gatti.
Mise en scène : Armand Gatti et Mohamed Melhaa.
Intendant : Stéphane Gatti.
Chant : Naïma Arnault.
Avec les étudiants d’Arts du spectacle de l’Université Marc Bloch de Strasbourg : Anna Guzitashvili, Annabelle Henry, Camille Garcia, Charline Alexandre, Julie Imbert-Chazée, Malika Lorenté (violon), Marianna Gueorgieva, Maria Luisa Ugaz Merino, Matthieu Pequignot, Nadège Rigault, Naïma Arlaud (piano, saxophone), Sarah Verdeil.

« De retour en France, invité en 1974 (par le Théâtre Ouvert) au Festival d’Avignon, Gatti reprend sur nouveaux frais la problématique et le langage développés pendant ses années d’exil. (…) Carcana, c’est Durruti. Ses vies. Ses morts. Et son dilemme : faut-il d’abord gagner la guerre, puis faire la révolution (d’où une révolution inévitablement militarisée, et donc mort-née) ou bien faire tout de suite la révolution (et être aussitôt balayé par l’armée ennemie) ? Ou, autrement dit : faut-il toujours attendre (et quoi ?) pour annoncer que le moment de l’Homme Nouveau est arrivé ? Si le personnage de Carcana est inventé c’est pour permettre à Durruti de refuser ce dilemme. D’échapper aux sentences de l’Histoire. A la parcellisation. A l’instrumentalisation qu’impose cette Histoire (même si c’est pour devenir instrument de la révolution). Carcana, c’est la possibilité de redonner à Durruti — et à son combat — sa véritable dimension : la démesure. Une dimension qui fait de lui, déjà, un homme nouveau ». (Michel Séonnet)

A la suite d’un travail entamé sur La Colonne Durruti avec ses élèves, Mohamed Melhaa, chargé de cours à l’université de Strasbourg et metteur en scène du théâtre de l’Algarade, leur a proposé de continuer avec le poète à la Parole errante. Au mois d’août, ils se sont réunis pour mettre en scène La Tribu des Carcana en guerre contre quoi ?

22h – 23h30 > « Ces Empereurs aux ombrelles trouées »

 

Pièce d’Armand Gatti.
Mise en scène : Armand Gatti et Matthieu Aubert.
Intendant: Stéphane Gatti.
Chant : Bianca Lanucci.
Avec Alexey Blajenov, Antinea Pérez Castro, Audrey Layris-Vergès, Catherine Rohner, Déborah Portnoï, Estelle Guérot, Flora Brousse, Georges Favre-Rochex, Hugo Botter, Jemma Saïdi, Leonor Illitch, Lise Lagnel-Lefèvre, Lucie Guesnier, Marie Martinez, Maxime Huet-Monceyron, Nicolas Sers, Rachid Belkaïd, Rehima Yahaoui, Samira Baibi, Sylvestre Leservoisier, Sylvie Paoli, Tess Tracy, Yoann Daunay.

Depuis mars dernier, un groupe d’une vingtaine de bénévoles de Montreuil et d’ailleurs, chômeurs, travailleurs, artistes, retraités, étudiants se réunissent chaque mois autour d’Armand Gatti, et vous présentent la première étape de leur travail. Matthieu Aubert, metteur en scène de la compagnie Idéokilogramme, a choisi de revisiter Ces Empereurs aux ombrelles trouées, pièce pour laquelle il porte un projet d’édition avec l’Entretemps à Montpellier.

Créée en 1991, au Musée Lapidaire dans le cadre du 45ème Festival d’Avignon, cette pièce met en scène les religions monothéistes et la question de Dieu dans l’Histoire des Hommes. Sous forme alors d’un débat théâtral. Les répliques se partagent entre les acteurs et les spectateurs, sur les chemins de la bataille de Poitiers où mots latins et arabes vont s’affronter. Le débat se déplace sur la route de Nicée où furent prononcées les dernières heures du combat entre la parole et l’image, à Bagdad pour le procès d’al-Hallaj… Il continue sous l’œil bienveillant du Dieu Sérapis et du bâton de Moïse… Qu’est-ce que nous cherchons? Décliner le nom de Dieu… Les décliner tous… en parallèle avec l’extinction des étoiles. A chaque nom décliné, une étoile s’éteint. Sous chaque étoile qui s’éteint, il ne reste plus rien, même si tout continue comme avant.

Rosa Collective
Théâtre
Montreuil, août 2012

 

Du 1er août au 1er septembre 2012, La Parole errante a accueilli en résidence à la Maison de l’arbre de Montreuil, la nouvelle création théâtrale d’Armand Gatti :

Rosa Collective.
 

Générale publique le JEUDI 30 AOUT à 20h30

Représentation le VENDREDI 31 AOUT à 20h30 

Représentation supplémentaire le SAMEDI 1er SEPTEMBRE à 20H30

 

Mise en scène : Armand Gatti assisté de Matthieu Aubert, Mohamed Melhaa.
Scénographie : Stéphane Gatti assisté de Emmanuelle  Amann, Alex Meunier, Jean-Marc Luneau, Benjamin Gatti.
Avec :  Matthieu Aubert,  Mohamed Melhaa, Audrey Olivetti, Léa Loyer, Souliko Tchkaïdzé, Delphine Didier, Pauline Rumen, Myriam Saingre, Ornella Baccarani, Noémie Beauvallet, Camille Ferrand, Jean-Paul Iwanon, Sébastien Turner, Hugo Botter, Lucas Arnoldi.

Coordination : Hélène Châtelain, Audrey Olivetti.

Production : La Parole errante, direction Jean-Jacques Hocquard & Armand Gatti. 

Administration : Chantal Duquesnoy. 

Documentation / Web : Tiffany Anton.

 

Historique de Rosa Collective
Exilé à Berlin, suite à l’interdiction de La Passion en violet, jaune et rouge (appelée premièrement La Passion du Général Franco), Gatti plonge dans l’histoire de Rosa Luxemburg, révolutionnaire, dont l’assassinat en 1919 mit fn à la révolution spartakiste et lui consacre une pièce. Que reste-t-il de Rosa dans les combats d’aujourd’hui ?
1971 : Rosa Kollektiv, les 3, 6, 14, 21 et 28 avril, 4 et 13 mai, 5 et 17 juin au Staatstheater de Kassel, République Fédérale d’Allemagne. Mise en scène : Kai Braak, Günter Fischer et Ulrich Brecht. Décors : Thomas Richter-Forgach.
1971 : Rosa Spartakus prend le pouvoir : lecture de la pièce Rosa Collective par Armand
Gatti sur invitation de Lucien Attoun (Théâtre Ouvert) dans le cadre du XXVe Festival d’Avignon, à partir du 8 août, Chapelle des pénitents blancs (4 représentations). Production : Théâtre ouvert.
1974, 6 juillet : Première déclinaison Rosa, Rosa, Rosa : Rosa Collective. Pièce radiophonique diffusée France Culture. Version différente de la pièce initiale. Collection : Nouveau répertoire dramatique, Lucien Attoun. Réalisation : Jean-Pierre Colas.

Panorama de presse sur la création théâtrale d’Armand Gatti Rosa Collective
les 30, 31 aôut et 1 septembre 2012 à La Maison de l’arbre (La Parole errante, Montreuil)

 

 

 

Les Arches de Noé
Les Sept possibilités du train 713 en partance d’Auschwitz

Toulouse, Vienne (Autriche), Rochester (Etats-Unis)
de 1986 à 1988

1986 : Les Arches de Noé . Première version de Les Sept possibilités du train 713 en partance d’Auschwitz.
Dernier trimestre, début du Troisième stage CRAFI – Collectif de recherche sur l’animation, la formation et l’insertion – mené à l’Archéoptéryx, Atelier de création populaire à Toulouse (dirigé par Armand Gatti) à Toulouse. Le 28 janvier 1987, représentation de Les Arches de Noé, au théâtre Berthelot à Montreuil-sous-bois. Texte d’Armand Gatti. Mise en scène Armand Gatti et Hélène Châtelain. Costumes : Véronique de Bellefroid, Jocelyne Carlet. Décors : Didier Coulon, Michel Cornu. Musiques: Daniel Souques. Lumières : René Rey. Son : Joseph Pantusi. Interprètes (stagiaires CRAFI et al.) : Daniel Souques, Félix Moussié, Michel Cornu, Béatrice Dominguez, Mohamed Oulladi, Pascal Pomier, Jean-Serge Molla, Eric Vincelot, Sabine Audouin, Julien Bassouls, Miguel Cannone, Renaud Cousin de Mauvoisin, Françoise Goepfert, Lysiane Laboué, Claude Mennadi, Patrick Slaminck.

1987 : Deuxième version : Die sieben pöglichkeiten des Zuges aus Auschwitz (= Les Sept possibilités du train 713 en partance d’Auschwitz), représentation le 26 mars au Dramatisches Zentrum de Vienne, Autriche. Texte et mise en scène : Armand Gatti.

1988 : The Seven possibilities of train 713 departing from Auschwitz (= Les Sept possibilités du train 713 en partance d’Auschwitz), représentations du 19 au 23 avril au Todd Theater de l’Université de Rochester, État de New York, Etats-Unis. Texte et mise en scène : Armand Gatti. Scénographie : Stéphane Gatti. Musique : Scot Brown, Werner Rodler. Traduction : Teresa Jillson.

Nous, Révolution aux bras nus
Toulouse, 1988

Nous, Révolution aux bras nus, spectacle monté dans le cadre du quatrième stage de réinsertion – Collectif de recherche sur l’animation, la formation et l’insertion (CRAFI) – mené du 9 mai au 21 octobre 1988 à Toulouse. Représentations les 4 et 5 juillet. Texte et mise en scène : Armand Gatti. Assistant à la mise en scène : Alexandre Gaudart. Décors : Didier Coulon. Costumes : Véronique de Bellefroi.

Les Combats du jour et de la nuit 
à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis
Fleury-Mérogis, 1989

Les Combats du jour et de la nuit à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis, (Premier titre : La Bastille répond occupé) : Création réalisée à l’occasion du bicentenaire de La Révolution française et dans le cadre d’un stage de réinsertion organisé par le ministère de la Justice à la maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Représentations du 25 au 28 avril 1989 au bâtiment D2 de la maison d’arrêt. Texte et mise en scène : Armand Gatti. Assistant à la mise en scène : Alexandre Gaudart. Scénographie et costumes : Stéphane Gatti. Interprètes : Détenus de la Maison d’arrêt de Fleury-Mérogis. Production : La Parole errante avec le soutien du Ministère de la Justice, Ministère de la Culture, de la Mission du Fonds social européen , …et al.

Un documentaire vidéo du même titre qui relate cette expérience menée à la maison d’arrêt a été réalisé par Hélène Châtelain.

Le Cinécadre de l’esplanade Loreto
reconstitué à Marseille 
pour la grande parade des pays de l’Est
Marseille, 1990

Le Cinécadre de l’esplanade Loreto reconstitué à Marseille pour la grande parade des pays de l’Est, représentations les 9, 10, 11 et 12 juillet 1990, dans le studio de FR3 Provence-Côte d’Azur, dans le cadre de « L’Été marseillais », stage de réinsertion, organisé par la Mission locale des XVe et XVIe arrondissements. Texte et mise en scène : Armand Gatti assisté de Baldwyn de la Bretèche, Alexandre Gaudart, Najib Ghallale. Scénographie et costumes : Stéphane Gatti assisté de Lydie Planas. Musique : Martine-Joséphine Thomas. Lumières : Didier Blin. Interprètes (stagiaires de « L’Été marseillais ») : Aimée Abbadini, Muriel Abeille, Hervé Barety, Lydia Di Matteo, Dominique Feri, Nadège Fleurie, Luc Fleury, Azzedine Hammache, Amar Khennouf, Yvette Moreau, Hachmi Rebai, Daniel Royo, Idir Tighilet, Morad Tighilt, Philippe-Maëva Tuhiti, Eric Unglas. Production : La Parole errante avec le soutien de la Ville de Marseille, le Conseil Général des Bouches du Rhône, Direction régional des Affaires culturelles de la Région Provence Alpes Cotes d’Azur,…et al.

Captation vidéo de la pièce réalisée par Stéphane Gatti.

Documentaires autour de la création :
La Reconstitution de l’esplanade Loreto réalisé par Stéphane Gatti.
Qui suis-je ? réalisé par Hélène Châtelain.
Jamais à Marseille le chant des oiseaux n’avait été si fraternel, entretien d’Armand Gatti réalisé par Stéphane Gatti.

Ces empereurs aux ombrelles trouées
Avignon, 1991

Ces Empereurs aux ombrelles trouées, du 9 au 19 juillet 1991 au Musée lapidaire (10 représentations). Dans le cadre du XLVème Festival d’Avignon, création d’un spectacle avec des habitants des quartiers périphériques . Texte et mise en scène : Armand Gatti. Scénographie : Stéphane Gatti. Costumes : Evelyne Paoli. Assistanat à la mise en scène : Najib Ghalale, Baldwin de La Breteche. Musique : Jean-Paul Olive, Arnold Schoenberg (opéra de Moïse et Aaron). Direction du chant : Jean-Paul Olive . Construction du décor : Films et Forme. Régie générale : Didier Blin. Lumières : Didier Blin. Collaboration à la régie : Clarisse Gatti, Julien Bassouls. Régie son : Jean-François Priester. Vidéo : Stéphane Gatti. Production : La Parole errante, Institut supérieur des techniques du spectacle d’Avignon, MJC Croix des Oiseaux (Avignon) et Festival d’Avignon. Interprètes : Brahim Belaidi, Guy Belaidi, Sabine Blachere, Farid Boughalem, Claire Bourdelier, Sarah Franco-Ferrer, Antonio Manzanera, Malika Mazari, Joël Milland, Vincent Ozanon, Youssef Ragouche, Myriam Ricaud, Serge Salvador, Frédéric Vouland, Assila Yahiaten et Mathias Beyler.

Thème choisi pour cette pièce, la mort du Pape Jean-Paul Ier, décédé en 1978 après 33 jours de pontificat.

Autour de la création :
– un documentaire La Réponse à Shoenberg réalisé par Stéphane Gatti.
– une exposition, Traces du voyages d’Armand Gatti en Avignon, conçue par Michel Séonnet et Stéphane Gatti. Ouverte du 5 au 30 juillet à la MJC de la croix des oiseaux, cette exposition revient sur l’écriture de la pièce par Armand Gatti et le travail mené avec les habitants des quartiers périphériques.

Nouvelle création en 2013-2014.

Adam quoi ?
Marseille, 1993

La pièce de théâtre Adam quoi ? a été créée à la suite des représentations de Le Chant d’amour des alphabets d’Auschwitz (1993, Seine- Saint-Denis. Même sujet : la shoah.

Texte et mise en scène d’Armand Gatti. Musique de Jean-Paul Olive. Lumières : Marc Delamézière Réalisation vidéo de Stéphane Gatti. Ce spectacle a été créé avec environs quatre-vingt stagiaires dans le cadre d’un stage organisé par Culture Promotion Méditerranée.
Interprètes (stagiaires Culture promotion méditerranée et accompagnants) : Dominique Ducornez, Julien Moine, Elisabeth Bertini, Gilles Delpappas, Madeleine de Staffolie, Lucien Fernandez, Ghalem Goual, Thierry Montagne, Choukri Abidelli, Brahim Chekli, Antoine Giraudau, Kerwin Myrtil, Guylaine Renaud, Muriel Abeille, Constantin Bazakas, Léa Dant, Léocadie Ornh, Geoffroy Rullier, Ali Ahmed, Boumédienne Bouriche, Ersan Ergenekon, Sylvie Kuniekow, Eric Unglas, Hubert Ganantchain, Marie Martinez, Christian Napoleoni, Anne-Marie Ventur, Bob Bader, Véronique Lohou, Christophe Roussel, Philippe Maurin, Anny Notin, Pascale Severac, Sophie Vincent, Nabila Zein, Antoine Cortes, Jeanine Guérin, Marie-Jo Ordener, Jean-Baptiste Simonetti, Patrick Ugo, Muriel Benhaïm, Caroline Gamel, Jeanne Goumeziane, Marilaure Mahe, Florence Roda, Douar Atmani, Jacky Blanco, Sarah Franco-Ferrer, Kamel Saleh, Patrick Miceli, Marielle Bourges, Christine Ferrant, Axel Georget, Fabienne Pache, Renaud Dramais, Béatrice Sberna, Dominique Ruse-Marlay, Hélène Bez, Karim Houssein, Laurence Pelletier, Patrick Cofin, Marianne Escudier, Alix Honoré, Emmanuelle Valat, Frédéric Renaud, Vincent Casamata, Christophe Daucé, Enrique Molina, Sandrine Sellin, Aline Soler, Sébastien Durupt, Idir Tighilet.

Spectacle en deux parties (La Préparation et La Rencontre) présenté sur deux jours, les 26-27 juillet, les 28-29 juillet, les 30-31 juillet 1993 dans 10 lieux de la ville de Marseille ( l’Ecole Yavne, le théâtre Toursky, etc… Voir document ci-dessus). Le transport de lieu en lieu se faisant en bus.

Autour du spectacle : une exposition de Stéphane Gatti, L’Eternel joue du shofar à Friche la Belle de Mai du 5 au 31 juillet 1993.

Production : La Parole errante, Le Théâtre Massilia, Théâtre Toursky, Lieux publics, Système Friche Théâtre, Théâtre du Merlan.

L’Inconnu N°5 du fossé des fusillés du pentagone d’Arras
Sarcelles, 1995-1996

Sarcelles, juin 1996 à janvier 1997. Armand Gatti écrit et met en scène, L’Inconnu N°5 du fossé des fusillés du pentagone d’Arras, une pièce-opéra, montée dans le cadre d’un stage d’insertion professionnelle organisé par Solidarité jeunes Travailleurs (SJT) où participèrent 60 personnes dont 43 personnes en réinsertion.

Cette pièce, rédigée à l’occasion du cinquantième anniversaire de la guerre (première écriture en 1995), est un moyen pour l’auteur de se remémorer ceux qui ont été peu honorés. Cette pièce est construite autour du mathématicien et philosophe Jean Cavaillès qui s’engagea comme résistant lors de la seconde guerre mondiale. Fusillé à la prison d’Arras, il fut enterré anonymement sous le triste alias de l’Inconnu N°5, c’est bien plus tard que l’on retrouva sa véritable identité.

1996 – 97 : L’Inconnu N°5 du fossé des fusillés du pentagone d’Arras. Texte et mise en scène d’Armand Gatti. Musique de Jean-Paul Olive, scénographie de Stéphane Gatti. Travail présenté les 28, 29 et 30 janvier 1997 à Sarcelles dans le cadre d’un stage de 60 personnes, organisé par Solidarité Jeunes Travailleurs (SJT).

Soit X, l’Inconnu, expositions conçues par Stéphane Gatti, présentée au Foyer des Jeunes travailleurs à Sarcelles du 2 décembre 1996 au 25 janvier 1997 regroupées sous un seul titre Soit X, l’Inconnu.

L’ensemble du projet « Armand Gatti – Sarcelles 1996 » a été réalisé avec le soutien du Ministère de la Culture, de la ville de Sarcelles, du Conseil général du Val-d’Oise et la participation de la Caisse des dépôts et des consignations, La Caisse-d’Epargne et la SCIC Ile de France.

Nous avons l’art, afin de ne pas mourir de la vérité. Frédéric Nietzsche
Strasbourg, 1994-1995

Kepler, le langage nécessaire, travail autour de l’astronome Johannes Kepler et dont le thème relit la guerre de Trente Ans à la guerre du Guatemala. Ce texte est devenu à Strasbourg lors de  sa création Nous avons l’art, afin de ne pas mourir de la vérité. Frédéric Nietzsche.

Texte et mise en scène d’Armand Gatti. Travail mené avec 80 stagiaires en situation d’exclusion (chômeurs, anciens drogués, anciens prisonniers (…), que Gatti appellent « ses loulous »)  qui cherchent, à travers ce travail, à trouver une reconnaissance sociale.

Présentation en trois parties du travail les 5, 6, 7 juillet 1995 aux entrepôts désaffectés de la SNCF.
Une partie de l’expérience a été menée à la prison d’Elseau où 20 détenus ont construit les décors du spectacle et huit autres ont participé à un atelier de sérigraphie, dirigé par Stéphane Gatti. Ils ont réalisé une partie des affiches de l’expérience. Tous les détenus ont aussi pris des cours d’astronomie.
Les participants à l’expérience ont eu des cours de Kung-Fu, discipline qui a fait partie intégrante du spectacle, des ateliers d’écritures, des moments de prises de parole en groupe, et répétitions. Les 80 stagiaires sont répartis en cinq groupes et travaillent sur les thème de Kepler, Galilée (astronome italien du XVII siècle), Giordano Bruno (philosophe italien du XVI siècle), Sohrawardi (philosophe persan du XII siècle), et les indiens mayas.

Quelques semaines avant la représentation, quatre horloges solaires, réalisées par les stagiaires, sont exposées dans la ville de Strasbourg. Il y a l’horloge de Kepler, de Galilée, de Sohrawardi  et celle des Mayas. L’une est exposée à la gare SNCF, l’autre devant les locaux de la communauté urbaine de Strasbourg (CUS), une troisième devant le théâtre du Maillon, et la dernière à la maison d’arrêt de Strasbourg, Elseau. Pour les représentations, les horloges ont été ramenées dans l’entrepôt. Sont exposés également, les affiches réalisées elles-aussi par les stagiaires, ainsi que des murs de vidéos. Lors des représentations un glossaire des concepts intellectuels utilisés dans le spectacles ont été distribué aux spectateurs. Tout au long du processus de création, ont été réalisé avec des scientifiques,  des conférences et des « journaux » (Carnet de route, 3 numéros).

Cette pièce « scientifique » sera un préliminaire à un nouveau travail d’ écriture d’Armand Gatti qui donnera par la suite un ensemble de pièces regroupées sous le titre  La Traversée des langages.

Production :  La Parole errante, La Laiterie, en collaboration avec le Jardin des Sciences de Strasbourg, le théâtre du Maillon, la maison d’arrêt de Strasbourg, Action culturelle du bassin lorrain, l’université Louis Pasteur de Strasbourg. Soutiens principaux : la ville de Strasbourg, la Direction départementale du travail, les ministères de la Justice et de la Culture, la Caisse des dépôts et des consignations, la Commission européenne, le Fonds d’action social.

Premier Voyage en langue maya
Montreuil, 1997-98

Cette pièce est une immersion dans l’univers maya mais montre la solidarité de son auteur, Armand Gatti avec les résistances Indiennes.

Représentations à La Maison de l’Arbre, à Montreuil les 28 et 29 juin 1998. Texte et mise en scène d’Armand Gatti. Scénographie de Stéphane Gatti. Musique de Pierre-Henri Bardel. Cours de langue maya : Michel Boccara. Cours de Kung Fu : Frédéric Crésel. Interprètes (jeunes du département dits stagiaires de l »été indien »), groupe de la Maison de l’arbre : Martine Boulet, Karl Cadet-Petit, Gérad Collewaert, Eric Doubliez, Louis Gabbianelli, Joël Gritti, Charles Levy, Abdel Kader Massart, Nordine Mehrazi, Abdelkrim Messast, Riadh Najidh, Guy Nicolas, Pierre Pugliese, Daphné Riquet, Félix Régnier, Dominique Ros de la Grange, Samir Saed, Malika Salhi.

Exposition de Stéphane Gatti : Voyage en langue maya.

Production : La Parole errante en collaboration avec la Maison populaire de Montreuil, Les laboratoires d’Aubervilliers, la bibliothèque Elsa Triolet de Pantin, la Maison de l’arbre de Montreuil. Avec le soutien du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, du ministère de la Culture (Direction de théâtre et des spectacles), de la Préfecture de région (Direction régionale des affaires culturelles), de la Préfecture de la Seine-Saint-Denis, de la Direction départementale du travail, de l’emploi et de la formation professionnelle, de la délégation interministérielle à la ville (Fonds social européen).

« Armand Gatti à Genève »

Deuxième voyage en langue maya avec surréalistes à bord

Incertitudes de Werner Heisenberg :
feuilles de brouillon pour recueillir les larmes des cathédrales dans la tempête et dire Jean Cavaillès sur une aire de jeu

Théâtre
Genève, Suisse, janvier à juillet 1999

Création de deux pièces d’Armand Gatti.

Texte et mise en scène d’Armand Gatti.
L’ ensemble de ce travail a été produit par l’Avag (L’Association pour la venue d’Armand Gatti à Genève), La Parole errante (Montreuil sous Bois), Le Théâtre Saint Gervais (Genève).
Avec le soutien de : L’Etat de Genève, La Loterie Romande, La Ville de Genève et les communes genevoises, La Fondation Barbour Caritas.
Et la participation de : Fondation Saint Gervais Genève, Le Centre social protestant, Les Editions Médecine & Hygiène, Avec l’aimable concours de John Armelder

Deuxième voyage en langue maya avec surréalistes à bord.

Représentations de la pièce les 26, 27 et 28 janvier 1999.
Texte et mise en scène d’Armand Gatti, musique de Pierre-Henri Bardel, scénographie de Stéphane Gatti. Travail présenté à Genève à l’usine de Sècheron, dans le cadre d’un stage « mixte » franco-suisse avec des « loulous » des deux pays.

 

Incertitudes de Werner Heisenberg. Feuilles de brouillon pour recueillir les larmes des cathédrales dans la tempête et dire Jean Cavaillès sur une aire de jeu.

Représentations de la pièce les 3, 4, 5 juillet 1999.
Représentations de la pièce Texte et mise en scène d’Armand Gatti, musique de Jean-Paul Olive et Pierre-Henri Bardel, scénographie de Stéphane Gatti. Travail présenté à Genève, dans les anciens locaux industriels de la S.I.P., dans le cadre d’un stage d’insertion organisé par l’AVAG, avec le soutien du Théâtre Saint-Gervais.

 

Le Couteau d’Evariste Galois avec lequel Dedekind
fait exister la droite en mathématiques,
ce soir traits d’Hexagrammes à la recherche du livre des mutations

Théâtre
Besançon, juillet-août 2003

 

Le Couteau d’Evariste Galois avec lequel Dedekind fait exister la droite en mathématiques, ce soir traits d’Hexagrammes à la recherche du livre des mutations ( premier titre : Eventualité de la géométrie survivante du Colloque d’Erlangen ).
Pièce d’Armand Gatti (texte et mise en scène) au Théâtre Universitaire de Franche Comté à Besançon, avec la participation du centre Jacques Petit et de La Parole errante. Travail mené durant les mois de juillet et août avec des étudiants français et étrangers, représentations publiques les 28, 29, 30, août 2003 au gymnase Fontaine Ecu à Besançon. Coordination : Lucile Garbagnati. Production : TUFC et La Parole errante.

Le texte de la pièce est édité aux éditions Verdier.

Deux vidéos autour de ce travail ont été produites par La Parole errante :

– La captation filmique de la pièce Le Couteau toast d’Évariste Galois avec lequel Dedekind fait exister la droite en mathématiques, ce soir trait d’hexagramme à la recherche du livre des Mutations : Réalisation, Swan Dubus – Vidéo coul. 79 min. (c) : La Parole errante, 2003.
VOIR LA VIDEO

– Un documentaire sur cette expérience théâtrale, Qui s’adresse à qui? : Réalisation, Bernard Bouteille & David Bernagout- Vidéo coul. 102 min. (c) : La Parole errante, 2007.
VOIR LA VIDEO

 

Les Oscillations de Pythagore en quête du masque de Dionysos
Théâtre
Ville-Evrard, juillet-août 2006

 

 

Les Oscillations de Pythagore en quête du masque de Dionysos : L’université de Paris VIII, l’association La traversée des langages, la Parole errante et l’hôpital psychiatrique de Ville-Evrard s’associent pour accueillir l’écrivain et metteur en scène Armand Gatti. 40 étudiants-stagiaires participeront à l’expérience.
Les trois derniers soirs de la résidence, les « répétitions seront publiques » et les spectateurs « témoins ». Elles se dérouleront sur le lieu de travail de la résidence, les anciennes cuisines de l’Hôpital psychiatrique de Ville-Evrard mises à disposition pour les deux mois d’été 2006. Représentations du 27 au 30 août 2006.

Le texte fondateur de la pièce appartient à La Traversée des Langages sous le titre : Les Oscillations de Pythagore lorsqu’elles deviennent possibilités contradictoires d’opéra : – selon les instruments de musique, en tant qu’agrandissement du corps humain ; – selon la mathématique travestie, en fête ; – selon les harmoniques fantômes qui naissent de l’oreille ; l’oreille pouvant aussi fabriquer des sons qui n’existent pas.

Un montage vidéo des captations des répétitions publiques de la pièce a été réalisé par Stéphane Gatti. VOIR LA VIDEO

 

Texte et mise en scène, Armand Gatti.
Décors et costumes, Gilles Lacombe.
Lumières, Marc Delamézière.

Personnage à la recherche d’un groupe, pour y jouer Jean Cavaillès

Olivier Lange – Lausanne (Suisse)


Groupe du Yin et du Yang

Le Chef d’orchestre

Anne Krust – Strasbourg

Heleno Pedroso Pereira – Rio de Janeiro (Brésil)

Le Compositeur

Emmanuelle Amann – Strasbourg

Matthieu Aubert – Compiègne

Marco Noto – Ragusa (Italie)


Groupe des Artefacts, le Service d’ordre musical

(portée, clef de fa, clef de sol, dièse)

Marina Cavouriari – Athènes (Grèce)

Camille Chevalier – Montpellier

Alba Alonso Arbesuk – Oviedo (Espagne)

Elisaveta Kudlik – Irkoutsk (Russie)

Claudio Gianfreda – Bern (Suisse)

Groupe des Cycliques, les Résistants

(M. Grosset, Charles De Gaulle, Jean Moulin, Raymond Mas, Lucie Aubrac)

Marina Grahovac – Zagreb (Croatie)

Caroline Benassy – Paris

Emmanuel Deleage – Los Angeles (USA)

Omari Zekralla – Kaboul (Afghanistan)

Groupe des Associatifs, les Amis

(Gaston Bachelard, Georges Canguilhem,Léon Brunschvicg, Albert Lautmann)

Albane Delesque Haziraj – Prizren (Kosovo)

Amel Maafa – Annaba (Algérie)

Lioubov Klichina – Irkoutsk (Russie)

Pablo Barrio Gonzalez – Oviedo (Espagne)

Groupe des Héritages, les Parents

(l’aïeule, la comtesse Malan de Merindof , M. Ferrières et son épouse,
sœur de Jean Cavaillès, les compagnons de la revue Esprit)

Isabel Fernandez Sirgo – Oviedo (Espagne)

Berislav Juraic – Zagreb (Croatie)

Boris Surija – Zagreb (Croatie)

Alexandre Chardaire – Strasbourg


Groupe des Spectateurs virtuels, de la Brasserie Carlsberg à Copenhague

Alexandra Baydrakova – Irkoutsk (Russie)

Tamara Mesalic – Zagreb (Croatie)

Caroline Corme – Paris

Xavier Malo – Montréal (Canada)


Groupe des Ouvriers, qui ont construit le décor

Kenza Hadjer – Annaba (Algérie)

Chemseddine Hamel – Annaba (Algérie)

Volodymyr Kabatchenko – Dniepropetrovsk (Ukraine)

Wahib Belhaj – Paris

Frédéric Darcy – Douai

« Selon les circonstances, toutes les personnes étrangères à la langue du spectacle inventeront ou proposeront un chant. Chacun doit participer au spectacle avec sa terre et ses morts. »

 Ce travail a été produit par La Parole errante avec le soutien du Ministère de la Culture (DRAC Île-de-France), du Conseil régional de l’Île-de-France, du Conseil général de la Seine-Saint-Denis,
et de l’Établissement public de Santé de Ville-Evrard.

Science et Résistance battant des ailes pour donner aux femmes en noir de Tarnac un destin d’oiseau des altitudes
Théâtre
Neuvic, juillet-août 2010

 

 

Science et Résistance battant des ailes pour donner aux femmes en noir de Tarnac un destin d’oiseau des altitudes . Projet porté par La Parole errante et le Refuge des Résistances, pour la résidence 2010, avec 28 étudiants-stagiaires (venant de France, Suisse, Espagne, Algérie, Russie et Canada.) participeront à l’expérience.
Les trois derniers soirs de la résidence, les « répétitions seront publiques » et les spectateurs « témoins ». Elles se dérouleront sur le lieu de travail de la résidence, le gymnase du lycée agricole « Henri Queuille » de Neuvic (Corrèze).
Représentations du 23 au 25 août 2010.
Un montage vidéo des captations des répétitions publiques de la pièce a été réalisé par Stéphane Gatti. VOIR LA VIDEO

Auteur et metteur en scène : Armand GATTI
Compositeur : Michel ARBATZ
Scénographes : Gilles LACOMBE et Six MATUSZEK (Ordinaire)
Costumières : Mathilde DEFROMONT, Sylvie TURLAIS et Emilie LORDEMUS
Éclairagiste : Marco BENIGNO
Professeur de kung-fu : Frédéric CRESEL
Professeur de chant : Christine PEYSSENS
Assistant à la mise en scène : Matthieu AUBERT
Coordinateurs : Gilles DURUPT et Hélène CHATELAIN
Constructeurs : Eve et Julien DOUAT (Électrochock)

Les 28 Participants:
Les Hypothèses de travail : Noémie BEAUVALLET, Pauline BELNAND, Haciba
BOUCENNA, Elsa LARDY, MAAFA Amel
Le Groupe de gauche : Alexey BLAJENOV, Rhéa-Claire PACHOCKI, Julianne RACINE
Le Groupe de droite : Marc-Ange EL AROUSSI, Nathalie LUSSAGNET, Alexandre
SCHAFFHAUSER, Noémie VOELKLIN
Les Observateurs : Bourasse ALLOUTI, Sandrine CHARLEMAGNE, Jean-Marie
CLAIRAMBAULT, Audrey OLIVETTI
Les Invités de Carlsberg : Damien FAUCHER, Elise JADELOT, Erwan LE DRU
Les Enseignants de l’Ecole Normale : Rebecca GONZALEZ BARRIUSO, Danielle
MARTY, Rodrigo OLAY VALDES, Catherine ROHNER
Les Musiciens : Marion BASQUE, Tamara DOLÉ, Anne STELLA, Morgane NAAS,
Lorraine WISS

Projet porté conjointement par « Le Refuge des Résistances Armand Gatti »
(Neuvic en Corrèze) et « La Parole errante » (Montreuil en Seine-Saint-Denis).

Université européenne de création organisée en partenariat avec :
• Le refuge des résistances Armand Gatti
• La Parole errante
• Les lycées, forestier et agricole, de Meymac et Neuvic
• La Ville de Neuvic

Financée par :
• L’Europe jeunesse en action
• La DRAC du Limousin
• Le parc naturel régional
• Le département de la Corrèze
• La réserve parlementaire du sénat
• La communauté de commune des Gorges de la Haute Dordogne

Aidée matériellement par :
• La ville d’Uzerche
• Le centre pénitentiaire d’Uzerche
• La ville de Neuvic
• L’association Point de vue
• Le lycée Saint Exupéry de Limoges
• Le théâtre de Tulle

La Parole errante est subventionnée par :
Le Ministère de la Culture (DRAC Île-de-France)
Le Conseil régional de l’Île-de-France
Le Conseil général de la Seine-Saint-Denis
La Ville de Montreuil